La phobie est une terreur irrationnelle qu’une personne éprouve en présence d’un certain objet, animal, ou dans une situation spécifique qui provoque une réaction de panique. Elle peut prendre plusieurs formes, comme l’arachnophobie (crainte des araignées), la cathisophobie (angoisse de s’asseoir), l’agoraphobie (appréhension des espaces publics ou des foules) et l’aérophobie (effroi de voler).

Souvent alimentée par un stress et une anxiété latents, la phobie peut conduire à un comportement d’évasion, particulièrement en ce qui concerne les phobies sociales. Les symptômes manifestes incluent des frissons, des battements de cœur accélérés ou même des nausées. En résumé, l’individu affecté par ce genre de peur évite généralement les espaces publics, craignant d’être examiné, jugé, ou même humilié.

Pour remédier à ce problème, l’hypnose est souvent présentée comme une option viable. Elle aide la personne à retrouver un équilibre entre son état émotionnel, psychologique et physique, ce qui favorise un meilleur bien-être global. Cependant, alors que certains parviennent à gérer leur anxiété, d’autres subissent des crises de panique qui deviennent envahissantes dans leur vie quotidienne. Dans les cas extrêmes, cette peur peut devenir obsédante et entraîner une détresse mentale chronique. Heureusement, diverses options thérapeutiques existent, et la kinésiologie en est une.

La kinésiologie a pour objectif de rétablir l’équilibre émotionnel et psychologique de la personne consultante. Lorsqu’il s’agit de phobies, des tests musculaires sont utilisés pour accéder à la mémoire cellulaire du corps, ce qui est crucial pour identifier le stress sous-jacent et les traumatismes associés. Ensuite, des techniques de rééquilibrage et des conseils sont mis en œuvre pour libérer l’angoisse persistante et restaurer la confiance en soi.

Il est important de noter que le kinésiologue ne pose pas de diagnostic, ne prescrit aucun traitement médical ou régime alimentaire, et ne conseille pas de cesser un traitement médical en cours. Il est rappelé aux consultants que le kinésiologue n’est pas un professionnel de la santé au sens médical du terme et qu’une consultation médicale est nécessaire pour toute problématique qui dépasse le simple cadre des symptômes. En outre, il est préconisé de ne pas décrire la kinésiologie comme une méthode de guérison, et d’éviter toute terminologie médicale dans toute forme de communication relative à cette pratique.