La thématique de la nutrition capte l’attention de divers groupes, y compris les experts en diététique et ceux qui luttent contre les désordres alimentaires. Manger de manière équilibrée implique de consommer des micronutriments comme les oligo-éléments, les vitamines et les minéraux, ainsi que des macronutriments tels que les glucides, les lipides et les protéines, qu’elles soient d’origine végétale ou animale.

Un régime alimentaire bien équilibré diminue les chances de souffrir de diverses conditions de santé, notamment le diabète de type 2, l’obésité et les troubles cardiovasculaires. À l’inverse, une alimentation déséquilibrée peut entraîner de graves carences, comme l’hypomagnésémie, l’hypokaliémie ou encore l’anémie hémolytique.

Alors que chaque repas devrait être une source de joie, une surconsommation de nourriture peut conduire à l’accumulation de toxines, à la suffocation des cellules et à un vieillissement accéléré, sans oublier le risque de prise de poids. En revanche, la sous-alimentation, souvent le résultat d’un grave désordre alimentaire, peut mener à une anorexie tant mentale que physique. L’obsession de maigrir et l’excès de poids peuvent provoquer des tourments psychologiques, affectant l’estime de soi et la confiance en soi.

Que l’on parle d’obésité ou d’anorexie, la première étape est de consulter un médecin généraliste, qui peut ensuite recommander un suivi auprès d’un diététicien-nutritionniste. L’objectif de ce traitement est de réguler l’alimentation et l’activité physique pour atteindre un équilibre.

Consulter un kinésiologue peut être utile pour traiter les déséquilibres émotionnels qui peuvent être à l’origine des troubles alimentaires, bien que la kinésiologie ne s’attaque pas directement à ces troubles.

Pour aborder un problème alimentaire de manière globale, il est recommandé de consulter son médecin généraliste et d’obtenir un suivi diététique avec un spécialiste en nutrition. La kinésiologie peut servir de soutien complémentaire pour mieux gérer la situation.

Le kinésiologue reste conscient de ses propres limites et sait quand il est temps de référer son patient à un autre professionnel qualifié, comme un médecin ou un psychologue, si les besoins ou les demandes du patient vont au-delà de son domaine de compétence ou pour des raisons personnelles.