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Médecine douce - Definition

Les soins alternatifs, les remèdes naturels ou encore les traitements complémentaires sont autant de termes employés pour décrire ce qu’on appelle couramment la « médecine douce ». Ce terme est quelque peu trompeur puisque ces pratiques n’appartiennent pas au domaine médical traditionnel.

Contrairement à la médecine classique, qui utilise des traitements médicamenteux et chirurgicaux, la médecine douce privilégie des approches plus naturelles et holistiques. Parmi ces approches figurent notamment la sophrologie, la relaxation, la naturopathie et la chiropraxie.

Pratiquée par un sophrologue, la sophrologie se concentre sur l’équilibre du système nerveux par le biais de techniques de méditation et de respiration consciente. Elle est particulièrement utile pour la régulation émotionnelle et la réduction du stress. De son côté, la relaxation se révèle efficace pour combattre les troubles du sommeil et relâcher la tension musculaire.

En ce qui concerne la naturopathie, elle est mise en œuvre par un naturopathe qualifié et se concentre sur l’amélioration de la résistance naturelle du corps en utilisant des méthodes biologiques.

Il est essentiel de comprendre que les praticiens de ces approches alternatives ne sont pas des professionnels de la santé au sens traditionnel. Ils n’ont pas la capacité de prescrire des médicaments ou de traiter des maladies spécifiques.

La kinésiologie est une autre discipline souvent associée à la médecine douce, bien qu’elle ne se considère pas elle-même comme telle. Le but principal du kinésiologue est de guider son client afin qu’il puisse pleinement utiliser ses capacités sans être entravé par des peurs ou des stress. Cette pratique vise à améliorer le bien-être émotionnel, mental et social de l’individu.

Il faut noter que le kinésiologue ne pose pas de diagnostic médical, ne prescrit aucun traitement, régime alimentaire ou médicament, et n’encourage pas l’arrêt de traitements médicaux en cours. Il précise également aux personnes consultant que sa pratique n’est pas un substitut à la médecine conventionnelle. De même, il s’abstient d’utiliser un langage qui pourrait suggérer que la kinésiologie est une forme de traitement médical, et ce, sur tous les types de supports de communication.