La structure humaine est constituée de différents types de muscles, notamment cardiaques, squelettiques et lisses, formant un organe de tissu mou qui intègre également des tissus conjonctifs. Bien que la notion de force puisse souvent inciter à des comparaisons entre individus, il est crucial de noter que la force et la masse musculaires varient grandement d’une personne à l’autre. Par exemple, un compétiteur en levée de poids aura une masse musculaire bien supérieure à celle d’un athlète spécialisé en courses d’endurance, bien que les deux s’entraînent presque quotidiennement.

Les deux concepts de force et de masse musculaires sont distincts et influencés par divers éléments du point de vue neurophysiologique. La force musculaire fait référence à la capacité d’un muscle à générer une force contre une résistance, ce qui nécessite une stimulation pour la croissance des fibres musculaires et leur contraction coordonnée.

Les types de douleurs musculaires les plus couramment rencontrés sont les courbatures, souvent le résultat d’un exercice intensif ou de la reprise d’une activité physique. De plus, la congestion musculaire peut être ressentie, c’est-à-dire une sensation liée au gonflement du muscle durant un exercice. Il est donc essentiel de maintenir les muscles en bonne condition pour éviter divers types de maux.

Le tonus musculaire fait référence à un état de contraction légère mais constante des muscles striés, qui aide à maintenir l’équilibre du corps lorsque celui-ci est au repos. D’un point de vue biomécanique, il existe une corrélation entre la force musculaire et la masse du corps. La croissance musculaire, qu’il s’agisse de la formation ou du développement des muscles, exige une dépense énergétique supérieure à ce que le corps utilise normalement.

Enfin, la force musculaire n’affecte pas la capacité du kinésiologue à effectuer des tests musculaires, qui sont son principal outil de diagnostic. Ces tests permettent une communication corporelle pendant toute la séance. Chaque cellule et chaque muscle du corps contiennent une mémoire émotionnelle, faisant du test musculaire un outil particulièrement efficace pour accéder à l’inconscient. De plus, le système nerveux central est connecté aux réflexes et à l’état général du corps, permettant à la kinésiologie d’identifier si un muscle est verrouillé ou non à travers un ensemble de questions.