L’épuisement professionnel, aussi connu sous le nom de burn out, est une forme de fatigue extrême touchant les aspects émotionnels, physiques et mentaux d’un employé dans son environnement de travail. Bien que ce syndrome ait été initialement identifié chez les travailleurs de la santé, il peut survenir dans n’importe quel domaine professionnel exigeant un investissement intense et une charge de travail excessive. Ce n’est pas une maladie mentale en soi et n’est pas répertorié comme telle dans les classifications des maladies professionnelles. C’est plutôt un ensemble de symptômes découlant d’une détérioration de la relation entre l’employé et son emploi.

Selon l’Organisation mondiale de la santé (OMS), l’épuisement professionnel se caractérise par un sentiment d’épuisement et de perte de maîtrise. Il se développe habituellement de manière graduelle, commençant souvent par un surinvestissement de la part de l’employé dans son travail. Ce zèle empiète progressivement sur la vie personnelle, sociale et familiale de l’individu affecté, qui peut alors se retrouver piégé dans un cercle vicieux d’efforts de plus en plus importants pour atteindre un sentiment de satisfaction, menant à l’épuisement complet si les conditions de travail demeurent problématiques.

Pour sortir de cet état, plusieurs approches sont disponibles. Au départ, la personne a besoin de repos pour se régénérer physiquement et mentalement. Un médecin peut prescrire des antidépresseurs et conseiller une période de congé médical pour fatigue extrême. Toutefois, le simple repos n’est pas suffisant. Une période d’introspection est nécessaire pour aborder les causes profondes et initier des changements. Dans ce contexte, un suivi psychologique avec un kinésiologue peut être bénéfique.

La kinésiologie est une forme de médecine alternative qui se base sur les principes de la philosophie énergétique chinoise. Elle offre l’avantage de combattre divers facteurs de stress et apaise également les symptômes physiques associés au burn out, tels que la fatigue persistante, les maux de tête et les troubles du sommeil. Cette pratique peut également améliorer la relation de la personne avec elle-même, ce qui en fait un outil précieux pour gérer des troubles psychologiques variés comme l’anxiété, le sentiment de désenchantement, le vide affectif, la solitude, les problèmes de concentration et la mélancolie.